[Fiche] Vanyel Andromal

Personnage :

Nom : Andromal
Prénom : Vanyel
Titre et/ou Surnom :
Age : 24
Race : Demi elfe (ascendant Haut Elfe)
Orientation : Finiel'an (elfique), Aran (populi)
Classe : Chasseur de primes


Famille du personnage :

Nom, Prénom et situation du père : Kemial Andromal, demi elfe, tué lors d’une attaque de bandits
Nom, Prénom et situation de la mère : Elis Andromal (née Aron), demie elfe, décédée suite à l’épidémie de Gregoria rouge

Nom(s), Prénom(s) et Situation(s) des frères : Aucun
Nom(s), Prénom(s) et Situation(s) des soeurs : Aucune


Description :


-Physique :

Pour l’œil trop hâtif, Vanyel paraît être un humain à la silhouette fine et agile, mais qui de la lie peut se permettre d’être gras ? Ses origines hautes-elfes transparaissent pourtant par les traits finement sculptés, rappelant un peu la beauté que l’on prête aux elfes, ainsi que par la forme de ses oreilles, plus fines et plus pointues que celles des humains. Comme ses ancêtres elfiques, il affectionne les longues chevelures, et la sienne est une de ses plus grandes fiertés. Détachés, ses cheveux argentés, encore un héritage elfique, cascadent sur ses épaules, mais il les ramène souvent en une queue de cheval. On peut aussi évoquer son regard, rendu étrangement perçant par la couleur gris clair de ses yeux. Il est généralement habillé d’un pantalon de toile rapiécé et déchiré par endroits, et d’une chemise d’une couleur indéfinissable, une sorte de blanc, complétée par une veste légère comportant de nombreuses poches. Il possède également un long manteau, de type « cache-poussière », lui aussi vieux et abîmé. Vanyel glisse généralement dans sa ceinture une petite dague rouillée ainsi qu’un pistolet argenté doté d’un canon long et fin, qu’il entretient minutieusement, un héritage de famille, vous dira-t-il.
En raison des années de vie dans la zone désolée, Vanyel a bien été obligé de « faire ceinture » plus souvent qu’à son tour, aussi n’a-t-il pas vraiment de difficultés à garder une silhouette fine, mais non famélique. Il s’arrange pour garder un air présentable et aussi propre que possible, ce qui lui vaut les attentions et les ricanements de la communauté. Il est plutôt séduisant malgré les difficultés qu’il peut rencontrer au quotidien (notamment concernant l’entretien de sa longue chevelure), et semble rester le même d’une année à l’autre.


-Caractère :

Les terres désolées sont la meilleure école pour apprendre la méfiance, et Vanyel n’en est pas exempt. Il est cependant moins prompt à la paranoïa que les autres habitants de la communauté, puisqu’il lui suffit en général de boire une ou deux pintes avec quelqu’un pour fraterniser. Il est un peu rude et peut paraître distant, mais ce n’est pas un mauvais bougre. À le voir, difficile de l’imaginer purement « méchant », ou quelque chose comme ça. Certes, en sa qualité de chasseur de primes, sa loyauté se monnaie, mais il n’a pas la fourberie d’un traître. Tous ses actes, il les pense de façon à assurer sa survie. Vanyel n’est pas un grand parleur et sait apprécier le silence, mais il sera moins secret avec de bons amis. Ce sont également les terres désolées qui apprennent à ne pas se dévoiler trop vite. Il tente souvent de dédramatiser, à cause de sa vie difficile,(au quotidien comme son passé) mais sait quand il doit garder son sérieux.


Résumé Chronologique :

-Naissance quelque part dans un village des terres désolées, quand il en restait encore quelques-uns en état.

-La découverte de restes hautement toxiques de la dernière guerre oblige à la démolition du village. La famille de Vanyel tente de survivre perdus dans les terres désolées pendant deux ans.

-Ses parents voyagent pendant quelques années encore avec un petit groupe de marchands, assurant leur sécurité.

-Une attaque de bandits aura raison d’une grande partie du convoi, et le père de Vanyel y laissera la vie. Effondrée de chagrin, sa mère décide tout de même de braver les terres désolées afin de trouver un lieu où elle et son enfant pourront vivre mieux.

-Ils sont jetés de plusieurs « bastions » (sortes de camps fortifiés tenus par des habitants plus aisés) en raison des épidémies qui se déclarent, car ils ne peuvent pas prouver qu’ils sont sains.

-Cinq ans plus tard, la mère de Vanyel succombe effectivement d’une de ces terribles épidémies, la Gregoria rouge. Vanyel a alors 7 ans.

-Un marchand de passage, assez riche pour se payer une escorte, prend pitié de cet orphelin. Il l’adopte, s’efforce de lui apprendre à lire et à écrire, et de le soigner.

-Vanyel, à 13 ans, est surpris en train de piller les stocks du marchand. De nature vindicative, celui-ci, s’étant tout de même assez attaché à ce gosse pour ne pas lui souhaiter une mort douloureuse, le largue au prochain « village », sorte de bidonville construit de bric et de broc dans lequel vit une communauté pauvre mais unie.

-Vanyel y restera jusqu’au moment présent, vivant tout d’abord de services rendus à la communauté, tels que l’éducation des plus jeunes, la construction de nouveaux « foyers », ou encore l’apport de soin aux malades.

-À 19 ans, il endosse le rôle de chasseur de primes, les attaques de bandits étant légion, afin d’aider à défendre la communauté.

Thème :


Voxo' :


Phrase(s) assimilée(s) :

Fiche, bien évidemment, en construction...